Bonjour à toutes et tous,
Comme d’habitude le dernier jour de chaque mois, parution de la revue Lichen ! J’ai le plaisir de figurer au sommaire de ce trente-septième numéro dans lequel figurent quarante-six poètes dont les amis Yve Bressande et Colette Daviles-Estinès.
Lichen privilégie toujours la forme courte, pour ce qui constitue son ADN. Dans ce numéro, je signe « un poème ferroviaire » dixit Élisée Bec, le fondateur de la revue. J’aime la formule !
Voici donc le lien vers le sommaire de ce trente-septième numéro que je vous invite à découvrir. Je vous reproduis également mon « poème ferroviaire » ici :
en revenant de la plage dans le TER
y avait cette fille en short
qui regardait par la fenêtre
elle pleurait
et elle était belle
elle était belle parce qu’elle pleurait
parce que comme ça à travers sa fragilité esquissée
sa beauté devenait presque accessible
palpable
j’ai pas osé lui parler je respecte trop la tristesse
j’ai pas osé lui parler
elle était beaucoup trop belle pour moi
j’ai pas osé lui parler
j’ai préféré croire qu’on se reverrait
j’ai pas osé lui parler et bousiller une scène de son film
j’ai pas osé lui parler
pour qu’elle reste dans son rôle
j’ai pas osé lui parler maintenant je m’en veux
j’connais même pas son nom
©Clément Bollenot, janvier 2019
Félicitations!
C’est les 40 et 41 pour moi
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Merci ! 🙂
40 et 41 ?
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oui
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Pages ? Je n’ai pas compris ^^
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Dans les numéros 40 et 41, septembre et octobre..
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Haaaaaaaa ok ! 🙂
Hâte de les lire alors ! 🙂
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C’est la trainstesse
de la princesse.
J’fais des vers
dans le TER.
Oui, je sais, ça fait plus « les Inconnus » que Victor Hugo. 🙂
Belle soirée à toi !
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Et vice versa… 😉
Joli premier mai !
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